La rencontre dans une ruelle

Carl Covernu

Un village, une ruelle, voici le lieux où une rencontre se produit, une rencontre pas comme les autres, non celle-la est originale et assez unique en son. Un regard, un croisement entre un simple citoyen et un soldat de la Marine, pas gradé, juste un soldat de bas étage. Son nom ? Carl Covernu, peu connu des citoyens de East Blue, ou plutôt inconnu du monde qui l'entoure. Son habit blanc et bleu ne lui permet pas d'être visible et reconnaissable cependant un petit montre qu'il est une authentique personne : ses poings. Le seul a utilisé des gants de combat portant le numéro 17, son numéro fétiche. Le citoyen n'est autre qu'un habitant appelé Rudy, nous ne connaissons peu son histoire, sa vie.....ni même son âge. Pour ce qui est de la ruelle, on peut dire qu'elle n'est pas sombre comme dans les contes de fée ou histoire de super-héros, au contraire elle est lumineuse. On peut y voir le soleil rien quand levant la tête vers le ciel bleu.

Carl qui revient de son activité de pêche après sa mission qui était d'aidé un vieux monsieur ivrogne a retourné chez lui, il était amnésique, il était encore habiller en uniforme de Marine. En marchant doucement, il regarde la ruelle et y voit un potentiel raccourci vers le bateau de la Marine amarrer à la côte près de la grande ville de Goa, capitale du Royaume de Goa. Quand à Rudy, le citoyen de Goa, il était posté dans la ruelle en train de chercher quelque chose dans les ben à ordure et ce qui se présente comme une petite cabane, vieille en bois, casser de partout.

Carl s'avance dans la ruelle illuminé par le beau soleil présent ce jour. Rudy le repère, voyant que le jeune homme est de la Marine, il s'avance vers lui, un grand sourire présent sur son visage qui n'inspirait pas confiance. Carl s'arrête devant lui, regarde le citoyen d'un air étonner, pose son panier rempli de poisson d'une mare située à l'autre bout de la ville, dans les plaines. Le citoyen Rudy entame les premières paroles de cette discussion.

Rudy : Yo gamin. Je vois que tu es de la Marine petit. Tu peux me rendre un petit service, j'en ai vraiment besoin.

Carl : Bonjour, vous êtes citoyen de Goa ? Un petit service ? Bien sûr je peux vous le rendre.

Carl affichait un visage plein de doute suite au parole du citoyen.

Rudy : Oui je le suis, évidemment. C'est chouette, donc en faite je recherche une personne. C'est quelqu'un pour qui j'ai une grande affection, une jeune femme, elle est plutôt grande, à peu près 1 mètre 85. Elle a les cheveux bruns, un peu comme toi l'ami.

Carl : Heu... j'ai les cheveux châtain clair, c'est pas brun.

Rudy : Mouai pas grave.

Carl : Ici il y a plein de jeune fille grande aux cheveux brun. Tu n'as pas une autre information à me donner pour la retrouver ?

Rudy : Si t'as raison, elle porte je crois un jupe à tailleur.

Carl : Et c'est tous ! Ça risque d'être dur.

Les deux hommes commencent la recherche de cette jeune femme inconnue de Carl, le problème est la description de celle-ci. Le citoyen paraissant louche aux yeux de celui-ci lui a t-il tous dit ? C'est la question principale qui hante l'esprit du jeune soldat de la Marine.

L'amnésie et les retrouvailles

Carl Covernu

Le jeune homme et son client se mettent en route, pour aller où, peut-être un endroit où débutera la recherche de ce qui pourrai l’apparenté à un fantôme, même si s'en ai pas un mais plutôt une jeune femme sans nom ni identité, que le citoyen de Goa veut retrouvé. Des questions, des questions et encore des questions tourmentèrent les pensées de Carl. Qui est-elle ? Pourquoi il l'a recherche ? Ou encore : Sait-il son prénom ? Les doutes sur cette homme s'accumulèrent pendant que le temps passait lentement. C'est déjà l'après midi, vers quinze heure, le soleil est au rendez-vous. Aucun nuage, aucune goutte d'eau ne se manifestent. Le ciel bleu azur dominait le ciel, une couleur vive qui donne de l'imagination à Carl. Cependant cela ne l'aide sûrement pas pour la mission qu'il accepta, ou plutôt une demande d'un citoyen, qui certes est louche mais le jeune homme ne peut refusé une demande qui lui permette d'aider un citoyen en détresse. Il regarde autour de lui, pour essayer de trouver parmi les habitants présent dans la rue, plusieurs femmes sont présentent, des dames blondes ou rousses, grandes et petites de taille. Peu de personnes correspondent à la description faite par Rudy. Malgré la chevelure identique à la description, le détaille qui n'allait pas est le port de la jupe.

Carl se rend compte au cour de la traversé que Rudy regardait, intrigué par ces personnes qu'il nommai des « beautés ». Carl sent à ce moment un sentiment de perversité émané de son esprit, peut-être une simple intuition dû aux doutes qu'il a envers ce citoyen précis qui l'accompagne dans la rue. Son intuition a déjà sauvé de nombreuse fois sa vie pendant son entraînement dans la montagne de son village natal. Mais un autre sentiment pris aussitôt la suite des opérations, un sentiment qui faisait de lui un soldat avant tous, l'aide envers autrui, avoir envie d'aider les autres. C'est dans sa nature et il n'en ai pas mécontent. Rudy stoppe le pas et se retourne vers une jeune femme ressemblant à celle décrite.

Rudy : Je crois que je l'ai retrouvé.

Carl : Où ça ?

La jeune femme a tourné dans une ruelle qui paraît sombre de loin, et l'est. Les deux hommes se mettent à la suivre, rendu à la ruelle, personne, elle a comme disparu. Carl se tourne vers Rudy.

Carl : Il n'y a personne ici.

Rudy : J'étais sur d'avoir vu une jeune femme tourné dans cette ruelle.

Carl : T'es sûr, c'était pas ton imagination.

C'est alors qu'un petit groupe de caïds du coin sort des tonneaux et des grandes boîtes en carton. Le gang est composé de quatre personne, qui volait les passants, les touristes pour vivre, mais surtout pour le plaisir de faire peur et de se croire supérieur. Le chef qui est le plus grand du groupe, ne ressemblait pas du tous à une racaille ou autre personne de ce type, sûrement qu'il était le cerveau du gang. Il ordonna aux quatre autres membres de dépouiller les deux hommes. L'un se dirigea vers Carl qui le fait virevolté dans le mur du bâtiment à côté. Alors que du côté de Rudy, il avait aussi mis un membre à terre. Carl, étonner de voir que ce citoyen maîtrise le karaté malgré son peu de force, Rudy se débrouillai bien. Les petites frappes se retirèrent,la raison est la peur, après avoir vu la force de leur deux adversaire, ils prirent la fuite en criant des paroles incompréhensible. Rudy révéla à Carl qu'il avait appris le karaté auprès de la jeune femme qu'il recherchai. Cependant il n'en dit pas plus. Son histoire intrigue de plus en plus Carl qui se pose encore plus de questions.

Les deux hommes reprirent la marche dans la rue principale où encore plus de monde est présents. Ils regardent les différents citoyens mais aucun ne correspondent à la jeune femme qui pratique le karaté. Et c'est, alors qu'ils parlaient, que Carl et Rudy voient une assemblée de gens, regrouper autour de ce qui semble être un combat. Ils se rapprochent et voient une jeune femme pratiquant le karaté pour vaincre des marchants pervers qui voulaient l'emmené au bar d'à côté. Rudy reconnu son maître et l'indique au jeune soldat de la Marine. Ils se dirigèrent alors vers la jeune femme.

Carl : Excusez-moi mademoiselle. On peut vous parlez ?

Jeune femme : Non, j'aime pas les soldats de la Marine mon petit.

Carl : Bon, je vois que vous ne voulez pas coopérer. De toute façon je ne vous laisse pas trop le choix.

Jeune Femme : J'ai dit non, si tu veux m’emmène avec toi, alors tu devras m'affronté et me vaincre.

Rudy : Mais enfin Joséphine, tu me reconnais pas ? Ça sert à rien il m'aide.

Joséphine : Comment tu connais mon prénom? Je te connais pas toi. Alors soldat, tu m'affronte ?

Carl : Bof j'ai rien à perdre. Amène-toi.

Les deux adversaires se mettent en position et la jeune femme se lance vers Carl, la main en avant, poing tendu et lance à ce qui ressemble à un coup de poing simple. Carl se déplace d'un pas vers le côté et bloque le poing de Joséphine avec sa main gauche. Elle arrive à se dégagé et repart à l'attaque. Cette fois elle utilise un coup de pied, qu'elle nomme «  Axe kick ». Carl esquive de peu le coup de pied venant d'en bas, mais la jeune femme intelligent effectue un aller-retour et le coup touche Carl par le haut. Il s'effondre pendant quelques minute. Alors que la jeune femme crois avoir gagné, le jeune soldat se relève et se remet en position.

Carl : Tu crois vraiment qu'un coup aussi peu puissant me mettra KO aussi vite et facilement ? Désolé mais tu es loin du compte. J'ai déjà reçu dix fois pire que ça.

Il se lance vers la jeune femme qui se déplace un peu à gauche, Carl ayant vu son déplacement s'arrêta. La jeune femme en profite pour l'attaquer et lance une seconde fois un coup de poing mais cette fois plus puissant. Carl attend patiemment le coup de poing, qui vient d'en face, il avait prévu le coup, c'est sa tactique. Il lance en même temps que la jeune femme son poing et l'atteint le premier, il effectue ainsi son Counter qui a retourné la puissance du coup de son adversaire vers celui-ci. Le coup touche directement la cible. Joséphine s'effondre, inconsciente, juste avec le nez cassé. Les deux hommes prennent son corps et partent pour ne pas avoir de problème. La jeune femme reprend conscience dans une ruelle où Carl et Rudy l'ont emmener.

Joséphine : Hum ? Où suis-je ? Hein.... Rudy, qu'est-ce que tu fais là ?

Rudy : Ah Joséphine tu es réveillée. Je t'ai cherché partout pour notre mission mais tu avait disparu et je te retrouve en train de te battre contre des guignoles. Et comment ça se fait que tu ne m'as pas reconnu tout à l'heure ?

Joséphine : Tout à l'heure ? Aïe, mais qu'es-ce que j'ai ? J'ai mal au visage.

Rudy : Tu t'es battu face à un soldat de la Marine et il t'a mis KO.

Carl : Salut.

Joséphine : Je comprend rien.

Rudy : Merci Carl, je te suis reconnaissant de ton aide. Maintenant je vais m'occuper d'elle. Désolé du dérangement quand même.

Carl : Y a aucun problème. J'aime aidé les gens.

Inimaginable, la jeune femme avait perdu la mémoire avant son combat contre Carl. Cependant elle semble avoir retrouvé celle-ci. On peut supposé que le coup puissant de Carl a fait bougé sa mémoire. Le jeune soldat ne connaîtra jamais l'histoire de ces deux jeunes gens, cependant ce n'et parce qu'ils sont louches, que ce sont des criminels. Carl reprend son chemin alors que le soleil se couche et pour retrouver son escadron au bateau de la Marine amarrer près de Goa.