Luan XuPirate | Rêveur
Messages : 201 Date d'inscription : 02/09/2014 Age : 30
Feuille de personnage Niveau: (17/50) Expérience : (98/200) Prime: - | Sujet: Un duel truqué Sam 13 Sep - 14:56 | |
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Splash!!!
HAAAAAAAAA ! Me voilà tout trempé, ainsi que mal réveillé, mais qui était l'abrutit qui avait fait ça ? Je m'étais endormi la veille contre le mur d'une maison du Village de Brigand, qui soit dit en passant était un drôle de nom, car il n'y avait pas tans que ça de brigand ou du moins les gens en avaient pas vraiment l'air, enfin de mon point de vue aussi trouble qu'il puisse être. Enfin bon, levant les yeux au ciel, je constatais la présence à une fenêtre d'une imposante femme tenant un seau à la main. M'ayant vue levé la tête en sa direction, elle commença à m'insulter et à m'ordonner de partir de devant chez elle, me relevant en vitesse et levant de nouveau la tête en direction de la fenêtre, je constatais qu'elle n'était plus là. Énerve, levant le doigt en direction de la fenêtre je lui dis.
Vas y rentre chez toi Sa...
Splash!!!
Bang!!!
lope. Je m'étais de nouveau pris de l'eau et cette fois-ci, le seau suivi en pleine tête, enfin sur la tête, car j'étais belle est bien pris la tête dans le seau. Retirant le seau de sur ma tête, je le pris d'une main ferme et le leva en direction de la fenêtre et lui cria.
COMPTE MÊME PAS LE REVOIR UN JOUR TON SEAU, JE LE GARDE COOOO.... FUSIL !!!!! À la vue d'un long canon de fusil sortant par la fenêtre, je me mis à crier encore plus fort et détala tel un lapin le plus loin possible de la maison et de sa folle occupante. Courant toujours plus loin, je finis alors par m'approcher de la sortie du village sans m'être une seule fois retourné, anse à la main, je tenais encore le fameux seau que cette folle m'avait jeté sur la tête. M'étant arrêté, je fixais attentivement le seau en bois, je décidais alors de le garder avec moi en espèrent lui trouver une utilité futur. Sortant tranquillement du village, je finis par croiser un vieil homme tirant une charrette, celui-ci s'arrêta et me demanda si j'étais pas le fameux étranger qui cuisine ivre mort. Intrigué, je lui répondis que c'était sans doute possible et c'est ainsi qu'il me parla d'un homme vêtu d'un poncho et portant un étrange chapeau qui me chercherait, n'y prêtant pas plus attention, je repris mon chemin en oubliant presque cette mystérieuse discutions.
Continuant mon chemin, j'arrivais non loin de verts pâturages où venaient paître quelques vaches à long poiles clôturé pour l'occasion. Commençant à avoir faim, je regardais les vaches, puis eut une idée de génie, avec mon seau, je pouvais traire une de ces vaches et en remplir mon seau de son délicieux lait. Rentrant dans le champ, je m'approchais tout doucement d'une des vaches, m'accroupis à côté d'elle et tendis délicatement la main sous son ventre et ces très gros poils. Cherchant doucement un pis, je finis par trouver quelque chose et m'en saisis, à ma grande surprise, ce que je tâtais de ma main n'était guère un pis de vache, mais belle est bien autre chose. C'est alors que la dit bête commença à reniflé très fort, ni une ni deux je lâchai la dit chose, pris mon seau et détalla le plus vite possible, en quelques secondes la bête ce retourna et me poursuivit. Courant de toutes mes forces, j'hurlais tel un imbécile tentant bien que mal à s'excusait auprès d'une bête sans volonté d'écouter.
HAAAAAAAAAAAA, J'CROYAIS QU'T'ETAIT UNE FEMELLE !!!!! Courant encore et toujours, j'arrivais en haut d'une petite colline, redescendant l'autre côté, la bête n'était alors plus vraiment visible derrière moi, c'est alors que sur ma route se trouvait un homme d'un poncho vêtus. L'homme à ma vue sembla me reconnaître, c'est alors qu'il m'ordonna de m'arrêter, prétextant vouloir combattre, ne cherchant pas plus loin, je continuais ma folle course, passant à côté de lui, je lui lançai mon seau qu'il rattrapa sans difficulté. Continuant à courir je lui tournais alors le dos, ce dernier ce retourna il me semble, il me traita de lâche et me disait que ce n'était pas un simple seau qui allait l'arrêter pour me dépouiller. M'arrêtant nette à ces mots, je me retournai et lui paria que je le mettrais au tapis et que comme récompense, je lui prendrais tout ce qu'il avait. À ce moment-là, pris par l'excitation d'un combat et la chance de se remplir les poches, j'en oubliai presque la bête, il m'en fallait peut sert, mais c'est très vite je repris conscience de la situation. C'est alors que la bête apparus sur la colline, elle s'arrêta et repris alors sa charge à ma vue, elle dévala la pente à toute vitesse, ne cherchant pas à l'esquiver, la bête chargea l'homme en face de moi, il ne comprit rien à la chose et valsa d'un puissant coup de tête. La bête pas plus freinait par la chose continua sa ruée vers moi, ne voulant pas subir le même sort, je fonçais moi aussi, mais vers mon assaillant.
D'un puissant saut en avant, je tandis ma jambe droite en direction de mon assaillant et parvient à lui frapper le sommet du crane.
L'ATTAQUE DU FAUCON !!!!!!! Sous la puissance du coup, les pattes avant de la bêtes fléchirent et sa mâchoire se fracassa sur le sol, tout son corps suivi et propulsé par sa course, il glissa sur deux trois mètres. Prenant appuis sur mon pied, je sautai derrière bête et me réceptionnais sur mes mains, puis vins à me remettre debout. Le pauvre taureau était dans les vapes, comme aurais-je pu savoir que ce n'était pas une vache avec autant de poil les uns que les autres, enfin bon je n'étais plus poursuivi. Me remettant de tant d'émotions, je me retournais et vis alors l'homme sur le point de se relever, je m'empressât alors de le rejoindre, je le plaquai au sol de mon pied et lui dis que j'avais belle et bien gagné. L'homme encore étourdis rétorqua que non et chercha à prendre son revolver à sa hache, ne le laissant pas faire, je lui délogeai un bon coup de pied au niveau de l'estomac, ce qui le mit quasi-directement dans les pommes. Je m'empressai alors de le dévaliser, fouillant ces poches, je trouvai une bourse. Comptant de ma réussite, je partis d'un pas enjoué quand je me rendis compte qu'un poncho m'irait peut être bien, fessant demi-tour, je lui pris alors son poncho et pour finir son chapeau que je trouvais bien assortit, réfléchissant de nouveau, je pris alors sa ceinture et l'arme qui y était accroché, je les enfilai et repartis comme si de rien n'était. Je n'allais sans doute pas utilise se revolver, mais lui prendre me semblais plutôt une bonne idée, il ne me restait plus qu'à le vendre, du moins si j'y arrive. |
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